1 avis
James et Talia : roman
Livre
Edité par Julliard. Paris - 2020
Résumé :
Rue La Fayette, à Paris, au fond d'un jardin, s'élève un charmant hôtel particulier un peu décati que ses habitants nomment affectueusement la " Roulotte ". Annette Rahbani et son mari Maurice en sont les heureux propriétaires. Ils y accueillent quelques résidents farfelus : un retraité sans ressources, une actrice dont la carrière stagne, un jeune peintre amateur de poker, une Afghane sans papiers et un mystérieux Libanais qui paye sans rechigner un loyer conséquent. La dernière venue, une jeune Israélienne prénommée Talia, s'est installée là dans un but bien précis. Son arrivée va provoquer une cascade d'événements cocasses ou dramatiques. James, le chat de la maison, ne perd pas une miette de ces imbroglios qu'il raconte avec délectation. Béatrice Shalit nous livre ici une comédie sentimentale pleine d'humanité avec des personnages tous plus attachants les uns que les autres.
Se procurer le document
Autre format
Issus de la même oeuvre
Suggestions
Du même auteur
Avis
Avis des professionnels
-
Un mini monde
Suivant James à pas de velours dans les couloirs, escaliers et appartement d'un hôtel particulier de la rue Lafayette. James, c'est le chat et grâce à lui nous allons pouvoir nous glisser dans le quotidien et l'intime de ses habitants. Chacun a son histoire, ses craintes et ses blessures mais tout le monde vit en harmonie. Enfin, jusqu'à ce que Talia arrive. Et avec elle, la vie de tout le monde va être bouleverser. Quel secret cache-t-elle ? Beatrice Shalit nous emmène dans les arrières-court de ces bâtiments aux portes souvent fermées. Un petit monde vit à l'écart de l'agitation parisienne. Chaque personnage est attachant et haut en couleur. Ils sont très bien décrits. La plume légère et agréable à lire nous fait passer un message de tolérance, entraide et multiculturalité. Même si les thèmes abordés ne sont pas approfondis, on ressort de ce livre avec une impression d'avoir rendu visite à des amis. Ça pourrait être nos voisins !
Stéphanie Begnatborde - Le 24 mars 2020 à 10:10